Article
Klaus Geyer
2009 – 2012
[...] À notre grande joie, Helmut Schmidt était prêt à accepter notre demande. [...]Les deux hommes, assis dans leurs fauteuils roulants, ont eu un peu de mal à entrer en conversation. Mais cela a changé tout d’un coup lors qu’ils ont commencé à échanger des souvenirs de jeunesse. [...]